Allez-vous faire foutre et fermez là !
C’est tellement facile de dire cela fasse à une personne que votre entourage ne connait pas.
Votre entourage ne connait cette moitié de vous, que par ce que vous lui laissez transparaitre et c’est souvent peu.
La famille, les personnes proches sont sans doute au courant de beaucoup, mais n’oubliez jamais aussi que leur but à eux, c’est de vous protéger car il vous aime.
Mais alors, et elle ?
Bah elle aussi de son côté elle à des proches et des amis qui sont là pour elle et qui essaye sans doute de lui apporter leur soutien.
Donc je récapitule deux être qui s’aime (ait ?) avec UNE seule réalité la leur ! Et pourtant deux points de vue, de chaque côté, défendant les intérêts de l’un et de l’autre …. Mais non, mais non, mais non !!!
Lorsque cela se termine, forcément il y en a toujours un de plus triste que l’autre, celui qui est laissé à quai….
Sa tristesse est pour sa famille certainement difficile à vivre, mais les paroles du genre : « ce n’est pas une fille pour toi … » franchement il faut arrêter car je ne sais plus les entendre.
Vous me voyez triste, vous souhaitez que je tourne la page d’un livre que je n’ai pas fini d’écrire. Vous voulez me forcer à fermer le livre quand même ? Ok, j’écrirai un tome 2 ! Je veux pouvoir croire à ce qui me tiens debout. Je dois pouvoir me projeter et écrire que je l’aime et que je veux un tome 2, qu’il soit plausible ou fictif, seul le temps pourra juger et décider de ce qu’il adviendra ou pas.
Je ne veux pas, plus, qu’on me dise ce qui est bon ou pas bon pour moi.
C’est une personne toxique ? Mais pourquoi ?
Pourquoi ce ne serait pas moi la personne toxique ?
Ah mais j’oubliais c’est un terme à la mode en ce moment donc c’est « cool » de l’utiliser …alors qu’il ne reflète strictement rien.
Cette personne je l’aime, je l’ai en moi, elle fait partie de moi ! Alors laissez-moi, laissez-moi écrire parler, aimer, faire mon deuil, ou y croire encore un peu car pour moi c’est essentiel.
Laissez-moi, je vous en supplie laissez-moi. Nous sommes tous différents et moi peut être encore davantage, mais s’il vous plait laissez-moi avancer sur mon chemin caillassé, les pieds en sang le temps que le temps répare les blessures, laisse des cicatrices ou ne m’octroie une nouvelle chance de croire en nous.
Croire en nous c’est une chose, et je dois, je le dois, de croire en moi aussi.
Mais de grâce, foutez-moi la paix.
Einstein : « L’amour est la force la plus puissante qui existe sur terre »
Ne me contrôlez pas, je suis incontrôlable … !